Affaires & Commerce
CONGO STATISTIQUE TRADE (PDF)
L’Agence hongroise de promotion des investissements (HIPA) a été créée en vertu d’un décret gouvernemental visant à fournir une aide professionnelle aux sociétés étrangères qui souhaitent investir en Hongrie. Il a pour mission d’appuyer la mise en œuvre des principaux objectifs de promotion des investissements du Gouvernement et de favoriser les relations économiques internationales bilatérales et multilatérales. Pour plus d’informations, visitez le site www.hipa.hu
Principales raisons d’investir en Hongrie
L’un des avantages concurrentiels de la Hongrie par rapport à d’autres pays de la région est l’engagement ferme du gouvernement à rationaliser les processus opérationnels et à accroître la compétitivité des PME et des grandes entreprises en Hongrie grâce à un large éventail d’incitations disponibles.
Des incitations à la fois remboursables et non remboursables sont offertes aux investisseurs venant ou en expansion en Hongrie. Les principaux types d’incitations liées aux investissements sont des subventions en espèces (du gouvernement hongrois ou des fonds de l’UE), des incitations fiscales, des prêts à faible taux d’intérêt ou des terres disponibles gratuitement ou à prix réduits. La réglementation sur les possibilités d’incitation est conforme aux règles de l’UE.
La Hongrie est située au cœur de l’Europe, ce qui rend le pays optimal pour la fabrication, les services et la logistique. En tant que membre de l’Union européenne, la Hongrie offre un accès à un marché de 250 millions de personnes dans un rayon de 1000 km, tandis que le marché commun de l’UE offre plus de 500 millions de personnes. La Hongrie est la base idéale pour les investisseurs qui planifient des développements commerciaux transfrontaliers.
Outre le climat favorable aux affaires et la disponibilité de divers incitatifs, la Hongrie est un lieu idéal pour faire des affaires pour une série d’autres raisons:
• Position géographique idéale au centre de l’Europe
• Excellentes infrastructures, sites industriels prêts à l’emploi, bureaux et parcs scientifiques
• Bon équilibre entre les coûts de main-d’œuvre et la qualité
• Incitatifs gouvernementaux (subvention en espèces, allégement fiscal)
• Politique économique favorable à l’investissement
• Régime fiscal concurrentiel
Piscine de main-d’œuvre de haute qualité
Les capitaux étrangers sont en grande partie attirés par la main-d’œuvre hautement qualifiée, en particulier dans les secteurs de l’ingénierie, des IT, des produits pharmaceutiques, de l’économie, des mathématiques, de la physique et des services professionnels. Environ les deux tiers de la population active en Hongrie ont terminé un enseignement secondaire, technique ou professionnel.
Les salaires moyens en Hongrie sont environ Soit 60% de moins que la moyenne de l’UE-27, ce qui rend la main-d’œuvre hongroise très compétitive. La maîtrise de l’anglais (90% des étudiants parlent anglais) et le nombre élevé d’heures de travail par an font des Hongrois une main-d’œuvre hautement efficace.
Chiffres clés
FUSEAU HORAIRE: GMT + 1 heure
POPULATION: 9 849 000 (à partir de janvier 2015)
MONNAIE NATIONALE: Forint (HUF)
PIB (PPA): 174 328 milliards d’euros (2013)
INFLATION: -0,2% (2014)
TAUX DE CHÔMAGE: 7,7% (2014 T4)
MEMBRES DANS LES ORGANISATIONS INTERNATIONALES: UE, ONU, OCDE, OMC, OTAN, FMI, CE
Pour plus d’informations, veuillez consulter l’Agence Hongroise de Promotion des Investissements (HIPA) à www.hipa.hu.
INVESTIR EN RD CONGO
GENERALITES SUR LA RD CONGO
La république démocratique du Congo constitue un immense pays situé au cœur de l’Afrique, à cheval sur l’équateur. Avec une superficie de 2.345.410 km2, la RD Congo partage 9.165 km de frontières avec les pays voisins : l’Angola, le Burundi, la république centrafricaine, la République du Congo, le Rwanda, le sud soudan, la Tanzanie, l’Ouganda et la Zambie.
6 RAISONS D’INVESTIR EN RD CONGO
- La RDC, terre aux multiples potentialités et opportunités d’investissements ;
- Infrastructures de base en pleine réhabilitation et modernisation sur l’ensemble du pays ;
- Une économique florissante et prometteuse ;
- Une main-d’œuvre abondante, qualifiée et bon marché ;
- Un environnement des affaires de plus en plus attractif et compétitif ;
- Un vaste marché au cœur de l’Afrique.
CARACTERISTIQUES DU CLIMAT DES AFFAIRES ET DES INVESTISSEMENT EN RD CONGO
- Interdiction de nationalisation et d’expropriation ;
- Liberté de transfert des revenus générés ;
- Mise en place d’un guichet unique de création d’entreprise (délai de création :3 jours) ;
- Mise en place de zones économiques spéciales ;
- Libéralisation du secteur des assurances, de l’électricité et de l’eau ;
- Mise en place de tribunaux de commerce et de tribunaux de travail ;
- Mise en place de mécanismes de sécurisation des investissements ;
- Simplification de la parafiscalité intérieure ;
- Adoption de plusieurs conventions bilatérales sur la protection réciproque
- promotion des investissements entre les pays amis de la RD CONGO ;
- D’autres reformes sont en cours d’adoption au sein du gouvernement.
ECONOMIE
La RDC continue à afficher de forts taux de croissance à court et moyen terme grâce notamment au dynamisme retrouvé des activités minières et aux perspectives de développement de l’activité agricole. Sa croissance annuelle qui a été estimée à 7,83% en moyenne entre 2010 et 2015, avec un pic de 9,5% en 2014, est passée en 2015 à 7,7%.
BANQUES ET ASSURANCES
A ce jour, le système financier congolais est composé de : 18 banques commerciales, 1 caisse d’épargne, 3 institutions financières spécialisées, 3 établissements de monnaie électronique, 2 coopérative d’épargne et de crédit, 23 institutions de micro-finance, 55 messageries financières et 15 bureaux de change.
Le taux de bancarisation et le taux directeur de la banque centrale quant à eux, se situent respectivement à 3% et 2%. Le marché reste donc ouvert pour les nouveaux investisseurs qui en expriment l’intérêt.
S’agissant des assurances, il a été mis fin monopole ayant caractérisé ce secteur depuis plusieurs années, par la libéralisation du secteur, laissant ainsi la place à la compétition. Cette reforme substantielle vient garantir davantage les investissements en RDC contre les éventuels sinistres et améliore la gestion des risques.
ENERGIE
Le secteur de l’électricité en RDC est réglementé par la Loi no14/011 du 17 juin 2014. Ce cadre légal vient instituer le libéralisme dans ce secteur vital de l’économie, en favorisant l’entrée du secteur privé afin d’accroitre de manière considérable, le taux de l’électrification nationale estimé aujourd’hui à 9,6%.
Le pays regorge d’énormes atouts pour le développement du secteur d’énergie : (I) un potentiel hydroélectrique de 100.000 MW (23% du potentiel mondial et 37% du potentiel africain) ; (II) 52% des réserves d’eau douce en Afrique et (III) diverses potentialités dans les énergies renouvelables (solaire, éolienne, biomasse, géothermique, etc.)
MINES
Le secteur minier implique fortement les femmes dans différentes activités, avec 60% des femmes dans le traitement des minerais, environ 30% dans le creusage et 10% dans la fourniture d’autres services.
Dans les zones minières, les femmes s’occupent de plusieurs activités. Dans les carrières, elles sont directement impliquées dans la chaine de production du minerai mais plus dans les travaux intermédiaires : lavage de minerais, transport des colis de minerais et de marchandises, tamisage, tri et broyage de pierres.
Le contexte de travail des femmes dans les mines est déplorable et pourtant ces femmes constituent la main d’œuvre non négligeable dans la chaîne de l’exploitation artisanale des minerais. On retrouve en grand nombre les femmes dans le secteur de transport; des pilages, lavage; concassage, et autres travaux connexes. Ces femmes contribuent à l’économie des ménages mais leur travail est dans les oubliettes.
Les défis majeurs du contexte de la femme dans les mines sont:
– problème de la capacité financière pour avoir un permis de recherche
– accès difficile au crédit, pas de garantie
– accès difficile à la justice
– présence des femmes enceintes et des enfants dans les mines
– les conditions de travail portent atteinte à la sécurité des femmes
-le secteur des mines présentes des opportunités pour les femmes;
– la sous-traitance
– ouverture des comptoirs d’achat des minerais
– création des coopératives minières
– achat carte de négociant et carte de creuseur
Nous osons croire que s’il y a du tonus à donner aux femmes, elles seront capables de grandes choses pour contribuer à l’amélioration du bien être économique, social, voir politique de leur communauté et de la société congolaise.
Statistique d’exportation de Diamant de janvier à septembre 2015
Statistiques de l’exploitation de l’or de janvier a septembre 2015
AGRICULTURE
Les femmes constituent une catégorie majoritaire dans la population congolaise.
Selon les statistiques, plus de 8 millions de femmes en Afrique participent au secteur de l’agriculture, parmi lesquelles les femmes contribuent à plus de 40% de la force de travail.
Malheureusement, elles doivent encore faire face à quelques contraintes :
- L’accès à la terre (difficile)
- L’accès à la formation et à l’information technique pour renforcer leur expertise dans leurs opérations agricoles sur toute la chaine
- L’accès aux intrants de qualité ; matériels, semences, outils de transformation etc…
- L’accès au financement
- L’analphabetisation notoire plus accru chez les femmes paysannes, qui renforce leur faible leadership.
AGRO-INDUSTRIE
Le pays regorge d’énormes potentialités pour le développement du secteur agricole : (I) 80 millions d’hectares de terres arables et 4 millions d’hectares de terres irrigables ; (II) un potentiel halieutique de 700.000 tonnes de poissons par an et (III) des vastes étendues de pâturages permettant d’élever plus de 40 millions de tètes de gros bétail. Dans sa vision, le gouvernement se propose de développer vingt-deux parcs agro-industriels dont celui de BUKANGA LONZO déjà opérationnel. Un appel est donc lancé au secteur privé pour développer leurs activités tout au long de la chaine de valeurs du parc agro-industriel de BUKANGA LONZO. Le gouvernement s’apprête à créer un 2eme parc agro-industriel à LUOZI au Kongo-central.
Tourisme
Le tourisme constitue l’un des secteurs devant contribuer efficacement à la croissance inclusive de la RD Congo. Le pays regorge d’énormes potentiels pour le développement de ce secteur : (I) 12% du territoire érigé en aires protégées ; (II) 7% parcs nationaux et 57 réserves naturelles ; (III) 4 espèces endémiques (Gorilles de montagne, Okapi, Bonobo et Paon Congolais) et une variété d’écosystèmes couvrant près de 145 millions d’hectares de forets.
INFRASTRUCTURES
Le pays dispose d’énormes potentiels pour le développement de ce secteur : (I) un réseau routier constitué de 145.000km (seuls 3.000 km revêtus) ; (II) un réseau ferroviaire de 5.033km à réhabiliter totalement ; (III) un réseau maritime, fluvial et lacustres de 16.238 km à baliser, draguer et exploiter ; (IV) 270 plateformes aéroportuaires à reconstruire ; (V) 2 ports maritimes internationaux à moderniser ainsi que plusieurs ports intérieurs à équiper et à draguer, routes d’interconnexions des pôles économiques. S’agissant particulièrement du transport aérien, la RDC dispose de 500 pistes d’atterrissage, dont 101 ouvertes à la circulation publique et dont 3 trafic international (Kinshasa, Lubumbashi et Kisangani). En outre il n’existe que 4 principales compagnies de fret en liaison vers et à partir de Sharjah, le Luxembourg, Addis-Abeba et 13 compagnies aériennes internationales desservant la RD Congo, y compris Bruxelles Airlines, Turkish Airlines etc.
Une nouvelle compagnie nationale de l’état vient de voir le jour (Congo Airways) en vue de desservir les lignes intérieures Les compagnies low cost sont donc les bienvenues.
Plusieurs opportunités s’offrent aux investisseurs, notamment : (I) la construction du port en eau profonde à Banana ;(II) la construction des lignes de chemin de fer (Banana-Matadi-Kinshasa-Ilebo) ; (III) la modernisation des ports intérieurs de la SCPT ; (IV) la modernisation des voies ferrées de la SNCC et le SCPT, etc.
Investissements Directs Etrangers (IDE) de 2010 à 2014 (En millions d’USD)